|
|
|
|
|
|
Bienvenue sur Smartphone France Android Edition Actuellement, 229 visiteurs en ligne |
|
Vous utilisez un bloqueur de publicités ? Félicitations :)
|
Actualités du monde Android |
Retour au sommaire du site
En janvier, Google se targuait d’avoir déjà rassemblé 90 millions d’internautes sur son réseau social, lancé en juin 2011. Une bonne performance, lorsque l’on sait que Facebook a mis plusieurs années avant d’atteindre les 100 millions de membres. Mais ce succès est aujourd’hui nuancé par le Wall Street Journal. Le journal économique américain explique que «Google+ est une ville fantôme virtuelle comparé à Facebook». Il s’appuie sur des chiffres de comScore pour faire cette affirmation. D’après le cabinet d’études, les utilisateurs qui surfent sur les réseaux sociaux depuis leur ordinateur «ont passé environ trois minutes par mois sur Google+ entre septembre et janvier dernier, contre six à sept heures sur Facebook». En clair, les internautes continuent à s’inscrire sur le réseau social de la firme de Mountain View, mais n’y font pas grand chose finalement… Un constat qui rappelle le flop de Google Wave, précédente tentative de conquête du marché des réseaux sociaux par le géant américain.
Pour le Wall Street Journal, ce manque d’engagement de la part des utilisateurs du réseau social de Google découle du fait que Google+ ne parvienne pas vraiment à se différencier de Facebook. Et ce, malgré les fonctionnalités originales comme les «hangouts», chat à plusieurs, ou encore les fameux «cercles», très pratiques. «Personne ne veut un nouveau réseau social en ce moment», selon Brian Solis, un analyste interrogé par le journal économique américain qui se demande toujours où est la valeur ajoutée de Google+. Du côté du géant américain, pas question de se laisser comparer à Facebook, qui compte plus de 845 millions de membres actifs à ce jour. Les responsables de Google ont répété qu’ils faisaient un pari sur le long-terme. L’entreprise n’a pas dit son dernier mot et compte créer de nouvelles fonctionnalités pour continuer son développement, qui passera certainement par les applications.
De toute façon, le «principal objectif» de la firme avec Google+ est «d’obtenir les données personnelles de ses utilisateurs pour améliorer la publicité ciblée» qui s’affiche lorsque l’on surfe sur tous les services offerts par Google (Search, Maps, YouTube , etc.), affirme le Wall Street Journal,. C’est la raison pour laquelle «Google+ s’en fiche si vous ne revenez jamais», estime Josh Constine dans un billet publié sur le site spécialisé TechCrunch. Selon lui, «Google+ a été conçu pour faire fonctionner la publicité ciblée». Et pour cela, tout ce dont Google a besoin, c’est que «vous vous inscriviez». Cela permet à la firme de Mountain View de combiner les informations biographiques des membres (comme leur âge, sexe, employeur, ville de résidence) et les activités enregistrées sur Google Search, Gmail ou Maps. L’idée est de pouvoir «créer un profil précis», indique Josh Constine.
Sa théorie rappelle quelque chose. Les nouvelles règles de confidentialité que Google s’apprête à mettre en place jeudi. A compter du 1er mars, les différents services made in Mountain View seront harmonisés: Google va croiser les informations issues des divers comptes créés pour avoir accès à ses services, afin d’améliorer la publicité ciblée. Une nouvelle politique qui déplaît fortement à la Cnil et aux autorités européennes.
Source de l'article : 20minutes.fr ...
|
Dorénavant pour publier des commentaires il faut posséder un compte sur le Forum du site et s'authentifier
Créer un compte sur le forum du site
S'authentifier sur le site avec son compte personnel
Retour à la page principale du site
|
|
|
|